Mort sur le Nil

vendredi , 24, janvier 2014 Leave a comment

Hercule Poirot est en croisière sur le Nil. A bord, une femme richissime est assassinée. Il décide de mener l’enquête, qui se révèle bien périlleuse. Toutes les personnes embarquées sur le bateau auraient une raison valable de tuer la jeune femme. Le détective envisage tous lés possibilités jusqu’au moment où une femme de chambre demande à lui faire des révélations. Peter Ustinov est le quatrième acteur à endosser le costume du célèbre héros d’Agatha Christie (après Austin Trevor, Tony Randall et Albert Finney). Il s’amuse comme un petit fou à prendre un fort accent français pour camper ce détective belge imposant. Le film, plutôt réussi, ne ménage pas les surprises en tout genre. Son originalité réside dans la visualisation de toutes les hypothèses de Poirot concernant le criminel. Chaque acteur y va donc de son coup de revolver pendant le film. Y compris la craquante Jonc Birkin au milieu d’une pléiade d’acteurs, plus prestigieux les uns que les autres (Mia Farrow, Bette Davis…). En plus, c’est bien filmé.

Chérie, j’ai rétréci les gosses

Chérie, j'ai rétréci les gossesTrente ans après, une version Disney, familiale et soft, du fameux « Homme qui rétrécit ». Cette fois, ce sont des enfants qui sont réduits à une taille lilliputienne par le rayon laser imaginé par leur père, inventeur farfelu (un numéro plein d’humour de Rick Moranis). Balayés, jetés aux ordures dans un sac poubelle, nos quatre teenagers réussissent à s’en évader, mais ils vont devoir traverser le jardin (une jungle menaçante), affronter des monstres géants (abeilles, fourmis) et mille périls mortels, de l’incendie de forêt (un mégot négligemment jeté) jusqu’au déluge (le tuyau d’arrosage), sans compter l’écrasement par des géants (leurs propres parents). Occasions de nombreux effets spéciaux, ça tombe bien car le réalisateur Joe Johnston s’y connaît en la matière ! De l’aventure, du spectacle, du flirt entre adolescents, pas d’angoisse si les hurlements des jeunes enfants ne parviennent pas jusqu’aux tympans des parents, on n’a jamais l’impression qu’ils risquent leur vie. Ne sympathisent-ils pas avec la fourmi qui leur sert de garde du corps, de véhicule, et même d’amie ! Sacré Disney…

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