L’aube des zombies

jeudi , 4, décembre 2014 Leave a comment

Un photographe de charme et ses trois top-modèles partent pour des prises de vue en Égypte. Dans un village isolé, ils rencontrent un ancien mercenaire reconverti en escroc qui se vante d’avoir découvert et pillé la sépulture d’un pharaon. Ravi d’avoir un scoop, le photographe devient curieux, trop curieux, au point de déclencher la fureur outre-tombe de la momie du pharaon. La momie va massacrer tous les êtres humains qu’elle trouve sur son passage avant de réveiller les morts. En effet, la momie va rappeler ses soldats du grand sommeil. Ces sanguinaires zombies vont semer la terreur sur les ordres de la momie. Classique film d’épouvante jouant sur le contraste entre les jolies top-modèles et les affreux morts vivants chargés de les massacrer. On n’en aura jamais vraiment terminé avec la malédiction des pharaons. Mais qu’ils viennent d’Égypte, de la quatrième dimension, ou d’une ville fantôme du Texas, tous les zombies se ressemblent. Si cela peut vous consoler…

The glory boys

Operation Mushroom. Mushroom = champignon = atomique = bombe ! Puisqu’on avance sur le terrain miné du politico-thriller pas objectif pour cinq pence («The glory boys» est une production de la télévision britannique), il est préférable de s’en tenir aux faits. Trois terroristes arabes. Ce n’est qu’au tiers du film que l’on apprend qu’ils sont palestiniens — projettent de tuer un éminent scientifique israélien spécialisé dans le nucléaire et venu assurer un cycle de conférences à ce sujet en Angleterre. Deux des trois terroristes sont abattus dans le nord de la France alors qu’ils s’apprêtent à franchir le Channel. Les polices et services secrets se déchaînent pour attraper le troisième terroriste, en fait un kamikaze. A Londres, son contact n’est autre qu’un terroriste irlandais de l’Ira. Iront-ils au bout de leur mission suicide ? Comment les services secrets vont-ils opérer ? A noter l’interprétation de Rod Steiger dans le rôle du savant — dont la fin est épique — et Anthony Perkins, plus momifié que jamais dans le rôle du capitaine Barril version british… Quant au reste… no comment !

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